Les séances de deuxième lecture réunissant le radiologue expert du programme Mammographie et plusieurs assistantes techniques en mammographie sont poursuivies.
Les mammographies sont également disponibles, mais leur coût est peut-être inabordable pour les femmes se trouvant au bas de l'échelle socioéconomique.
S'agissant du cancer du sein, s'il faut un examen supplémentaire pour déterminer la présence d'un néoplasme malin, les médecins recommandent une mammographie.
Selon la convention une commission scientifique et technique a été crée regroupant les différents professionnels de santé travaillant en mammographie de dépistage.
Les responsables du programme Mammographie participent à des congrès et des formations à l'étranger ainsi qu'aux conférences annuelles du réseau européen et international.
On doit aussi à ces actions d'avoir suscité de l'intérêt pour les examens cytologiques et les mammographies tant de la part du monde médical que des patients.
Les chiffres donnent donc à penser que les femmes ne prennent pas suffisamment conscience de la nécessité de faire des mammographies régulières pour le cancer du sein.
Le Gouvernement australien et les gouvernements des États et des territoires continuent de financer le programme national de dépistage par mammographie et de mener des campagnes de sensibilisation.
De plus, il prévoit une mammographie tous les deux ans pour toutes les femmes âgées de 50 à 75 ans, ainsi que des consultations destinées à faire le point des antécédents familiaux.
Certains systèmes expérimentaux sont capables de repérer des tumeurs sur des mammographies plusieurs années avant qu'elles ne soient détectables par l'œil humain.