Avec lui, pas de promenades obligatoires, un encombrement dérisoire, un appétit modéré et la satisfaction d'avoir un petit tigre domestique et affectueux chez soi.
Son coup de fourchette avait toujours épaté les hommes qui la côtoyaient. Qu'il s'agisse de ses collègues de travail ou de ceux qui avaient pu partager quelques moments de sa vie.
Il mangeait beaucoup, se fichait de cet efflanqué de Lorilleux qui accusait la boisson de tuer les gens, lui répondait en se tapant sur le ventre, la peau tendue par la graisse, pareille à la peau d’un tambour.