Le requérant affirme que l'explosion du missile Scud mentionnée au paragraphe 644 a causé la destruction de biens corporels, notamment de mobilier et de matériel.
Le bâtiment de Dammam, se trouvant à proximité de la zone des opérations militaires, aurait été endommagé par les ondes de choc provoquées par l'interception de missiles Scud.