L'organisation Yayasan Hati, fondée par Octavio Soares, un militant proautonomie, a pris en charge 200 enfants qui se trouvaient dans des camps de réfugiés.
Certaines, en particulier en province et dans les zones rurales, sont retirées de l'école par leurs parents pour être employées comme main-d'œuvre domestique.
Au guichet, chaque ouvrier prenait la sienne, poinçonnée à son chiffre ; puis, il l’examinait, la fermait lui-même ; pendant que le marqueur, assis à une table, inscrivait sur le registre l’heure de la descente.