S'agissant des ressources marines non vivantes des fonds marins internationaux, le Brésil appuie le bon travail accompli par l'Autorité internationale des fonds marins.
D'autres questions ont également été abordées, telles que les ressources marines non biologiques, le patrimoine culturel sous-marin et la coopération et la coordination internationales.
Puisqu'ils sont étroitement tributaires de l'océan, les efforts visant à exploiter les ressources vivantes et non vivantes des océans ont pour eux une importance particulière.
Elles ont mentionné à l'appui de cet argument les rapports symbiotiques entre ressources génétiques, ressources marines inorganiques et organismes vivants présents dans la colonne d'eau environnante.
Ce faisant, ils ont créé une Convention qui prévoit l'exploitation rationnelle des ressources biologiques et non biologiques des océans, ainsi que la préservation des ressources biologiques.
Dans ce contexte, le Bangladesh accorde beaucoup d'importance à une démarche fondée sur les écosystèmes pour l'exploitation et l'exploration de toutes les ressources marines biologiques et non biologiques.
La Convention a accordé des droits souverains aux États côtiers sur les ressources biologiques et non biologiques à l'intérieur de la zone économique exclusive dans un cadre juridictionnel.
Aux termes du Traité, les activités liées à la prospection et à l'exploitation des ressources non biologiques doivent être exercées en commun, selon accord entre les deux parties.
L'établissement d'un programme de gouvernance viable des océans au sein du secrétariat de l'OECO permettra d'apporter un appui continuel à la gestion des ressources marines biologiques et autres.
Ce sont notamment la récente Convention de l'UNESCO sur la protection du patrimoine culturel subaquatique et la question de l'exploitation des ressources marines non biologiques du plateau continental.
La coïncidence de ressources biologiques et non biologiques impose la difficile recherche de solutions permettant un régime d'exploitation des deux types de ressources qui soit respectueux de ces écosystèmes.
L'article 3 définit la zone sous régime commun comme étant une zone de gestion, de prospection et d'exploitation communes et de contrôle conjoint des ressources biologiques et non biologiques.
Du fait de la symbiose qui existe entre la biodiversité des fonds marins et leur écosystème, la totalité de leurs ressources, vivantes et non vivantes, appartiennent au patrimoine de l'humanité.
Les océans et mers sont d'une valeur inestimable pour le bien-être de l'humanité, car ils offrent des ressources maritimes vivantes et non vivantes, ainsi que des moyens de transport vitaux.