Les taux d'émigration des Européens, qui suivent la tendance des communautés chinoise et indo-fidjienne, sont les plus élevés de toutes les communautés minoritaires.
Il serait plus logique que toutes les conventions retiennent une formule de calcul nationale concrète, formule qui n'existe pas dans le cas des émigrés.
Selon la presse, les raisons qui pousseraient chaque mois plusieurs milliers de personnes à chercher à quitter le pays seraient essentiellement d'ordre économique.
Les personnes déplacées à l'intérieur du pays ainsi que les réfugiés constituent une part anormalement élevée de l'effectif des personnes qui quittent le pays.
Le veuvage et l'émigration des hommes contribuent peut-être aussi à alimenter ce phénomène, puisque les veuves représentent aujourd'hui 82 % du total des femmes chefs de ménage.
Le Gouvernement du Cap-Vert négocie des accords bilatéraux avec les pays d'accueil pour veiller à ce que ses émigrants puissent exercer pleinement leurs droits et libertés.
L'émigration est tombée à des niveaux très bas alors que le nombre des migrants rapatriés ainsi que le nombres des expatriés et des réfugiés augmente constamment.
Le nombre de personnes disposées à émigrer est en baisse en raison de la croissance de notre économie et des meilleures perspectives qui existent en Lituanie.
Aucun peuple n'a eu à subir de la part des gouvernements successifs des États-Unis un tel degré de discrimination et de manipulation politique de ses relations migratoires.