Cependant, cette interprétation fondant la laïcité sur le principe de neutralité semble contredite par certaines dispositions constitutionnelles et législatives.
À l'aube du 20e siècle, les priorités de la IIIe République sont la séparation de l'Église et de l'État, et la tension diplomatique croissante avec l'Allemagne.
D'ailleurs, la séparation de l'église et l'Etat est une autre grande mesure du programme des communards, et les églises deviennent des lieux où les clubs organisent leurs débats.
Les valeurs de la République, la Liberté, l'Egalité, la Fraternité, la dignité même, l'égalité entre les hommes et les femmes, la lacité, tout cela, c'est autant de leviers pour nous permettre d'accomplir la mission qui est la mienne.
Depuis la séparation de l’Eglisse et de l’Etat (1905), la société française a pour principe la laicité : l’Eglise doit rester politiquement neutre, l’Etat garantit la liberté de culte mais ne se mêle pas des affaires de religion.
Après cela, la 3ème république va finalement mettre en œuvre certaines des réformes importantes de la Commune comme l'école gratuite puis obligatoire et laïque en 1881 et 1882, ou encore la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905.