Ce qui nous préoccupe tous aujourd'hui, c'est que l'ONU est paralysée et que cette situation incontrôlée pourrait conduire à sa disparition définitive.
La position dominante sur un marché peut être non seulement celle d'une seule entreprise, mais aussi celle de plusieurs entreprises qui, agissant de concert, pourraient arriver à dominer.
Comme l'ont montré de récents événements internationaux, la Bosnie-Herzégovine ne peut plus se permettre d'avoir un service de renseignements et de sécurité échappant au contrôle de l'État.
Quant à la condamnation de M. Soares, la Cour suprême l'aurait infirmée au motif qu'il ne pouvait être tenu responsable d'actes commis alors que l'armée indonésienne contrôlait la région.
La situation est marquée par des tendances, qui, si elles ne sont pas corrigées, nous placeront tous dans des conditions de plus en plus difficiles à gérer.
M. Wallace (États-Unis d'Amérique) dit qu'il ressort clairement de la première phrase du paragraphe 2 de la disposition type 17 que le soumissionnaire ne maîtrise pas totalement la situation.
Ni le Liban ni la Syrie ne gagneraient à une politisation des crimes d'une telle gravité, ce qui pourrait, le cas échéant, entraîner la communauté internationale dans un engrenage difficilement maîtrisable.
Des contrôles qui ne cherchent pas à s'adapter à la situation de chaque pays, et ignorent donc les aspirations au développement des plus dépourvus, n'apportent pas de solution viable, bien au contraire.
Les organisations sont donc de plus en plus nombreuses à choisir de développer par leurs propres moyens les applications dont elles ont besoin, espérant par là mieux maîtriser les coûts par la suite.
Pour faire face à cette situation, les gouvernements agissant en association avec d'autres organismes, déploient des efforts de plus en plus intenses aux niveaux sous-régional, régional et international pour consolider les bonnes pratiques.
Peut-on prendre au sérieux les prophètes de la singularité qui voient un point d'inflexion possible, dans les prochaines décennies, où les machines prendraient les commandes ?
Leur priorité est donc de régler leurs problèmes d'approvisionnement, de contrôler la situation et de surtout trouver la manière de faire face à ces changements pour rester en bonne santé.