Ce soir-là, Frédéric hésite à lui rendre visite, mais M. Arnoux entraîne le jeune homme dans une soirée mondaine, un bal costumé, où il fait la connaissance de Rosanette, une ravissante courtisane.
Mais il n’allait jamais à ces soirées ni à ces bals que les jours où il gelait à pierre fendre, car il ne pouvait payer une voiture et il ne voulait arriver qu’avec des bottes comme des miroirs.