Un autre orateur a estimé que l'expression «intolérance aggravée» décrivait bien la situation des minorités et des classes opprimées du sous-continent.
Il devient en outre de plus en plus évident que le recours permanent des pays développés aux subventions agricoles accentue le marasme des cours mondiaux.
Dans certains cas, le marasme des prix était imputable aux choix effectués par les gouvernements des pays développés et par les institutions financières internationales.
La déréglementation est nécessaire pour éliminer les pressions contenues qui s'exercent sur les prix et pour assurer et maintenir la stabilité macroéconomique à long terme.
Il était temps d'abandonner cette «microgestion» si démotivante et de responsabiliser les pays visés à l'article 5 s'agissant des activités au titre du Protocole de Montréal.
Même là où la pauvreté est en recul, la mondialisation fait que la pauvreté, l'analphabétisme, la mauvaise santé, qui subsistent, paraissent de plus en plus intolérables.
Mais cela pouvait comporter un coût économique sous la forme de distorsions du marché, de subventions à l'exportation et d'une accumulation de ressources pouvant peser sur les prix.