La politique appliquée par la Turquie dans la zone occupée depuis son invasion de Chypre représente le premier cas de nettoyage ethnique dans l'Europe de l'après-Seconde Guerre mondiale.
Depuis cette période, les crimes contre l'humanité et les actes de génocide et d'épuration ethnique se sont multipliés du fait de l'action criminelle des forces et groupes congolais et étrangers, notamment dans les provinces orientales.
L'opposition dénonce une dérive autoritaire du président turc depuis les purges effectuées il y a un an : environ 50.000 personnes ont été arrêtées et plus de 100.000 limogées ou suspendues de leurs fonctions.