Les scénarios extrêmes les plus effroyables sont décrits en particulier dans Carter et autres (note 117 plus haut, p. 81) et Stern (note 117 plus haut, p. 1 à 4).
Parmi ces pays, les pays sans littoral, tels que le Népal, sont dans une situation dramatique, car ils continuent de faire face à des problèmes considérables.
Selon le chef du Gouvernement, les six semaines qui ont suivi les attaques ont été « les plus catastrophiques » de l'histoire récente des voyages et du tourisme.
Si un tel modèle était retenu, on pourrait se contenter d'ajouter de nouveaux membres sans s'occuper des problèmes, ce qui serait en effet la pire des solutions.
Alors que nous examinons la situation de notre région en matière de sécurité, nous devons cependant constater que la dernière décennie a été également la pire des époques.
Les régions où la situation des femmes est la plus déplorable sont essentiellement les Visayas et les îles de Mindanao, où de nombreuses régions sont considérées comme rurales.
Les preuves scientifiques sont récemment venues corroborer, voire dépasser, nos pires craintes en nous exposant les conséquences matérielles pour la planète que l'on peut attendre des changements climatiques.
Déformer la réalité entrave les efforts internationaux visant à régler les conflits et les crises et ravive les pratiques les plus détestables de l'époque de la guerre froide.
Mais le pis n'était pas encore advenu ; la tempête continua avec tant de furie, que les marins eux-mêmes confessèrent n'en avoir jamais vu de plus violente.
Elle repartit, poussant une berline vide. Le pis était que, dans cette voie de fond, une autre cause se joignait au voisinage du Tartaret, pour rendre la chaleur insoutenable.
Le pis est que, pour abaisser le prix de revient, il faudrait logiquement produire davantage : autrement, la baisse se porte sur les salaires, et l’ouvrier a raison de dire qu’il paie les pots cassés.
Les échelles et les cordes se réduisaient à un bout de câble enroulé autour du tronçon de mât. Pas une pioche, pas un pic, pas un marteau, et, malheur irréparable, nous n’avions pas de vivres pour un jour !