Étant donné le nombre d'infractions graves qui ont été commises et la reprise des procès, de nouveaux locaux pénitentiaires seront bientôt nécessaires.
L'aide apportée dans le domaine de l'application des lois a continué d'être accompagnée d'activités d'appui à la justice et aux établissements pénitentiaires.
Le service correctionnel du Kosovo emploie plus de 350 agents locaux, qui exercent des fonctions diverses dans les institutions pénitentiaires de la province.
Les mineurs qui enfreignent la loi bénéficient de mesures de rééducation, de redressement moral et de conseil, et la rééducation est préférée par principe à la punition.
La remise en état de trois centres de détention et la formation en cours d'emploi de 125 gardiens de prison permettra d'améliorer le système pénitentiaire.
En outre, les mesures d'internement sont exécutées conformément à un plan d'éducation individuel élaboré par l'Institut des mineurs, qui porte sur les domaines arrêtés par le tribunal.
La peine d'emprisonnement est exclue dans le cas d'un mineur délinquant et un certain nombre d'autres options de nature corrective ou éducative sont prévues pour la remplacer.
Il y a encore des détentions illégales et le non-respect des procédures judiciaires a fait augmenter de façon considérable la population carcérale dans les cinq dernières années.
La Division de la santé : planifie et met en œuvre des programmes tendant à répondre aux besoins de santé intégrée des internes, sous la juridiction de l'INPEC30.
La séance intitulée Violence familiale est conçue pour aider les nouveaux employés à comprendre la raison pour laquelle la violence familiale est un sujet de préoccupation pour SCC.
Ce programme comprend un élément de formation destiné aux spécialistes et aux gardiens de prison, hommes et femmes, du service pénitentiaire fédéral ainsi qu'aux femmes privées de liberté.
L'Institut des mineurs, qui relève du Département des affaires juridiques, est responsable de l'instruction, de l'éducation, de la rééducation, de l'orientation et de la formation professionnelle des jeunes délinquants.
Cependant, Gervaise restait conciliante, discutait paisiblement ces mauvaises raisons. Elle tâchait d’attendrir les Lorilleux. Mais le mari finit par ne plus lui répondre.
– Était-ce la place d’un évêque que le chevet d’un tel mourant ? Il n’y avait évidemment pas de conversion à attendre. Tous ces révolutionnaires sont relaps.
Il demanda l’aumône à plusieurs graves personnages, qui lui répondirent tous que, s’il continuait à faire ce métier, on l’enfermerait dans une maison de correction pour lui apprendre à vivre.