Les images du 45e président des Etats-Unis assistant ravi à la danse saoudienne du sabre en compagnie du roi Salman sont encore dans toutes les rétines.
C’était un grand seigneur, c’était un homme en tout point l’égal de Buckingham. Il ne dit rien, il ceignit seulement son épée, s’enveloppa de son manteau et se rendit à Buckingham-Palace.
Athos alors se leva de sa chaise, ceignit son épée, s’enveloppa dans son manteau, et sortit de l’hôtel ; il était dix heures à peu près. À dix heures du soir, on le sait, en province les rues sont peu fréquentées.
Il l’a suivi. Arrivé à un endroit du chemin solitaire et écarté, il a mis l’épée à la main en sommant le messager de lui remettre les papiers dont il était porteur. Le messager a voulu se défendre : mon frère l’a tué.