Épinglée par le Conseil de l’Europe, la France était jusqu’à aujourd’hui un mauvais élève, car en Europe trente États ont déjà dit stop aux punitions corporelles.
Proscrits les châtiments corporels, gifles, fessées… mais aussi les violences verbales et psychologiques. Interdits dans le Code civil, mais aucune sanction pénale n’est prévue. L’objectif est avant tout symbolique.