Ces pays dépendant d'un petit nombre de produits de base pour leurs recettes d'exportation, les effets des fluctuations des cours sont particulièrement marqués.
Le cacao, le café et le coton montrent une variabilité de prix qui est de deux à quatre fois supérieure à celle de l'ensemble des produits alimentaires.
On part de l'hypothèse que l'évolution des prix reflète pleinement l'évolution des droits de douane correspondants, autrement dit que la baisse des droits profitera pleinement aux consommateurs.
Ils devraient aussi permettre des transferts automatiques et rapides et de préférence s'intéresser aux fluctuations des recettes nettes d'exportation plutôt qu'à la variabilité des cours mondiaux.
Dans la pratique, les enquêtes portent plutôt sur «les changements de prix des biens et services enregistrés avant et après l'imposition de mesures correctives visant les cartels».
De multiples tentatives ont été faites par ailleurs pour lisser les fluctuations cycliques des cours mondiaux des matières premières, ou du moins pour en réduire l'impact.