Entre-temps, les opérations fluviales de l'ONU se poursuivent, ce qui permet à la MONUC d'escorter les péniches de réapprovisionnement et de secours humanitaire.
À l'origine, la Mission comptait acheter huit péniches et louer des pousseurs à une entreprise privée pour un montant d'environ 2,4 millions de dollars par an.
En 1970 il est reconstruit en métal pour faire face au trafic de péniches et bateaux sur la Seine, par les ingénieurs Lagallisserie, Darcel et Vaudrey.
Une autre péniche, chargée de carburant pour la MONUC et escortée par un bateau affrété par la MONUC, se trouve aujourd'hui à Lisala, entre Mbandaka et Kisangani.
Il estime également que l'élimination des munitions et l'enlèvement des péniches et des navires coulés constituent des mesures raisonnables visant à nettoyer et remettre en état l'environnement.
Sur les bords de Seine, en contrebas de la bibliothèque, plusieurs boîtes de nuits, salles de concerts et restaurants ont été ouverts sur des bateaux et des péniches.
Les parties étaient convenues le 14 septembre que, si le naphte était livré à bord de péniches avant minuit le 24 septembre, l'acheteur accepterait les marchandises à un prix réduit.
Comme le vendeur n'avait pas pu organiser la livraison par péniche dès l'arrivée des marchandises à New York, le 22 septembre, le délai du 24 septembre n'avait pas été respecté.
Le 20 juillet, 12 péniches sont parties de Kinshasa pour Lisala et Bumba (au nord de l'équateur) dans une première tentative de reprise des échanges commerciaux en près de quatre ans.
Les combats ont également entravé les efforts visant à briser la poussée de choléra qui s'est manifestée à Mbandaka, où la maladie a été apportée par des passagers de péniches venus de Kinshasa.