Pour l'armée, il s'agit là des dépouilles d'officiers et de leurs familles exécutés par l'organisation Etat islamique, après son entrée dans Palmyre en mai 2015.
En autorisant les médecins à utiliser les dépouilles des pauvres dont le corps n'a pas été réclamé par la famille ou l'entourage, l'Anatomy Act a littéralement tué le marché.
Une épreuve pour les équipes médicales et pour les volontaires de cette association religieuse chargée de rendre les dépouilles à leurs familles une fois qu'elles sont enfin identifiées.
L'incertitude demeure aussi sur le nombre exact de corps entreposés dans le train réfrigéré, leur sort et celui de la centaine de dépouilles qui restent encore sur le site.