La participation des habitants et l'intervention d'équipes de travailleurs sociaux dans les procédures d'expropriation sont désormais chose courante à Hô Chi Minh-Ville.
Nous dispensions en outre une formation en cours d'emploi aux travailleurs sociaux pour accroître leurs compétences et leur efficacité face à leurs dossiers.
Le personnel des unités prend en charge le processus d'intervention (l'intervention rapide est une priorité) et est pleinement responsable des aspects sociaux de chaque cas.
La mission de l'équipe était semée d'embûches : des expériences précédentes de participation au niveau des quartiers refroidissaient l'enthousiasme de certains et inspiraient plutôt la méfiance.
A ce moment-là, les services scolaires d'action sociale étaient assurés sur la base de ratios dépendant du nombre des élèves et de la catégorie de l'établissement.
Ce faisant, il répond d'une manière globale aux besoins des enfants maltraités et de leur famille et coopère étroitement avec d'autres professionnels sur une base pluridisciplinaire.
Ces centres et les équipes pluridisciplinaires qui les composent (éducateurs, travailleurs sociaux, criminologues,…) ont pour mission de fournir un accompagnement aux victimes de la traite des êtres humains.
Les travailleurs sociaux aident les enfants qui sont placés -mais pour qui une réunification familiale est à terme prévue- à entretenir régulièrement des contacts avec leurs deux parents.
C'est ainsi que les établissements enregistrant de mauvais résultats étaient dotés d'un travailleur social pour un effectif de 1000 élèves, tandis que les autres avaient un travailleur social pour 2000 élèves.
Ainsi, 14 nouvelles personnes ont été engagées au sein de ces centres afin d'aider les travailleurs sociaux dans leur travail de prévention et d'aide aux victimes et aux auteurs.