Le 28 juillet, le Premier Ministre a pris un arrêté prévoyant le remplacement du Gouverneur de Basra, Muhammad al-Waeli, l'un des dirigeants du parti Fadhila.
Il invoquait ensuite le manque d'impartialité des juges de la Chambre no 2 du Tribunal constitutionnel, dont il avait demandé la révocation dans une autre affaire.
Ces interrogations pourront être levées si l'on permet aux créanciers, dans les cas appropriés, de remplacer un représentant de l'insolvabilité nommé par le débiteur.