Six fonctionnaires ont été rétablis dans leurs fonctions, bien que certains d'entre eux soient encore confrontés avec des allégations d'irrégularités de gestion, qu'ils contestent.
En ce qui concerne les magistrats de la Cour suprême, qui viennent d'être libérés, un groupe d'experts examine actuellement la question de leur réintégration.
Ils doivent toutefois avoir la possibilité de s'opposer à leur destitution dans des procédures offrant des garanties d'indépendance et d'impartialité, en vue de solliciter leur réintégration.
Au moins un fonctionnaire (le Directeur de la chaîne de responsabilité) a été suspendu pour deux mois, mais il sera apparemment autorisé à reprendre ses fonctions.
Ensuite, étant donné la « mauvaise volonté » de l'administration de se conformer à ladite décision, l'auteur s'est adressé à la section des requêtes du Conseil d'État afin d'être réintégré.
Ensuite, étant donné la «mauvaise volonté» de l'administration de se conformer à ladite décision, l'auteur s'est adressé à la section des requêtes du Conseil d'État afin d'être réintégré.
Comme exemple, il précise la procédure permettant la réintégration ou indemnisation des personnes ayant fait l'objet de mesures administratives de licenciement pour des faits liés à la tragédie nationale.
Une procédure simplifiée a été mise en place en vue de leur réintégration après que des plaintes ont été déposées concernant des retards imputables à la procédure suivie à l'échelon municipal.
M. Sach (Contrôleur) indique que la décision de réintégrer un fonctionnaire dans ses fonctions est liée à la nature et au fond même des accusations en suspens ainsi qu'aux responsabilités du fonctionnaire concerné.
Depuis lors, 462 ont été rétablis sur les états de paie du Kosovo à leur propre demande et ont perçu leurs arriérés de salaire que les institutions provisoires avaient gardés en fiducie.