Grâce à celles-ci, notre région a obtenu de très importants rabais qui ont permis d'élargir la couverture des traitements avec des médicaments antirétroviraux.
La forte marge bénéficiaire sur ces marchandises est une source de gros bénéfices qui, pour être rapatriés, nécessitent une monnaie forte ou son équivalent.
Même si les prix des antirétroviraux ont beaucoup baissé, leur généralisation demeure difficile, le coût annuel du traitement de première intention se montant à 300 dollars.
Même si dans l'agroalimentaire, certaines étiquettes restent élevées aux yeux des ménages, la décrue est là, les prix augmentent beaucoup moins fortement.