Elle en subit les conséquences négatives, sur les prix de l'énergie, sur ceux des denrées alimentaires importées, et sur la polarisation internationale.
On retrouve aux États-Unis les mêmes ingrédients qu'au Brésil, la polarisation, la désinformation à haute dose, le poids des évangéliques, et la personnalité du chef.
Les électeurs connaissent par cœur les deux principaux candidats : d'un côté, Jaïr Bolsonaro, le Président sortant, un populiste aux relents autoritaires, qui a dangereusement polarisé le pays.
Il est plus ancien que les Grünen mais à cause de ses divisions, il n’arrive pas à émerger sur la scène politique française, polarisée entre la droite et la gauche.
Fragmentation des publics, polarisation, difficulté à distinguer le vrai du faux, défiance croissante envers les grands médias, migration massive vers les plateformes sociales… voilà le mouvement en cours.
L'économie brésilienne est bien plus mal en point, et le pays est polarisé après quatre ans de Bolsonaro, Lula n'a d'ailleurs été élu que de justesse, avec 50,9% des voix, il devra en tenir compte.