Ce choix restreint l'utilisation de cultivars à rendement potentiellement supérieur et les pratiques agricoles qui pourraient ne pas être aussi souples.
Les fermiers africains doivent adopter des pratiques agricoles à rendements plus élevés, en utilisant davantage de graines, d'engrais et de systèmes d'irrigation.
Cette révolution exige des travaux de recherche en matière génétique (produire plus), d'agroalimentaire (produire mieux) et d'études des sociétés (démographie et rapports ville-campagne).
C'est pourquoi le nombre des variétés à haut rendement a été augmenté pour répondre aux conditions d'écosystèmes spécifiques et accroître la diversité génétique.
De même, le mauvais temps, allié aux faibles qualifications des fermiers, fait obstacle aux efforts déployés pour accroître les rendements, notamment en Afrique.
S'ajoutant à leur pauvreté, elles ne peuvent compter sur des garanties bancaires qui leur permettraient d'obtenir un crédit pour diversifier ou accroître leur production.
Eh bien au milieu du XVIIème siècle, l'augmentation de la population dans la métropole oblige les maraîchers bruxellois à trouver des solutions pour accroître les rendements tout en utilisant le moins de terres cultivables possible.
Le pis est que, pour abaisser le prix de revient, il faudrait logiquement produire davantage : autrement, la baisse se porte sur les salaires, et l’ouvrier a raison de dire qu’il paie les pots cassés.