Tel est particulièrement le cas de l'obligation « De respecter l'inviolabilité des agents, locaux, archives et documents diplomatiques ou consulaires ».
Il est indispensable de poursuivre cet effort de coordination, vu le rapport d'étroite complémentarité qu'il y a entre installations communes et services communs.
Enfin, l'alinéa e) concerne l'inviolabilité des agents, locaux, archives et documents diplomatiques et consulaires, qui est essentielle pour le fonctionnement normal des relations internationales.
Le représentant du Canada demande donc aux États hôtes d'être vigilants et actifs dans leur défense et rigoureux dans la poursuite des auteurs d'infractions.
Aussi sommes-nous d'avis que les États pourraient institutionnaliser une pratique destinée à déceler les vulnérabilités des agents et fonctionnaires et des locaux en question.
Une deuxième exclusion, contenue dans l'alinéa c), porte sur le « comportement qui porte atteinte à l'inviolabilité des agents, locaux, archives et documents diplomatiques ou consulaires ».
Consentir à la perquisition des locaux d'une ambassade est une chose, consentir à l'établissement d'une base militaire sur le territoire d'un État en est une autre.
Le Groupe des Nations Unies pour le développement a pris des mesures pour créer dans de nombreux pays des installations communes, une « maison des Nations Unies ».
Pour prévenir de telles atteintes, les États accréditaires doivent attacher une importance particulière, aux niveaux national et local, à la protection des locaux diplomatiques et consulaires.