Pour lui, Tang Bohu a perdu la gloire immédiate d'une carrière mandarinale, mais il a laissé l'élégance et le charme de son style artistique à la postérité.
C’est honteux à dire, cependant nous ne faisons pas ici de l’immoralité à plaisir, nous racontons un fait vrai, que nous ferions peut-être mieux de taire.
À trente-cinq ans qu’il avait alors, il passait à juste titre pour le plus beau gentilhomme et pour le plus élégant cavalier de France et d’Angleterre.
On disait qu’il avait eu de grands malheurs dans ses affaires amoureuses, et qu’une affreuse trahison avait empoisonné à jamais la vie de ce galant homme.
Les Joyeux Compagnons ont beau agir en dehors de la loi civile, ils respectent quand même une certaine forme de moralité et agissent en vertu de codes bien établis.
Je crois que je ferais bien de vous séparer, tous les trois, pour que vous puissiez vous concentrer sur vos potions plutôt que sur la complexité de votre vie sentimentale.
J’ai connu une ancienne femme galante à qui il ne restait plus de son passé qu’une fille presque aussi belle que, au dire de ses contemporains, avait été sa mère.
Madame Lerat, toujours pleine d’allusions polissonnes, appelait la jambe de la petite « une quille d’amour » ; et elle ajoutait que beaucoup d’hommes aimaient ça, sans vouloir s’expliquer davantage.
En effet, elle ne fut pas jalouse, elle le plaisantait sur les herscheuses qu’il déclarait abominables, le boudait presque, parce qu’il n’avait pas des farces de jeune homme à lui conter.