Toutes trois se servaient avec habileté de leurs ombrelles et des éventails de plumes, mais avec les sous-entendus indéchiffrables des Momposiniennes de l'époque.
Ses gants blancs montraient la finesse de sa main qui jouait avec le manche d’une ombrelle en ivoire chinois, et son brodequin de soie dessinait la petitesse de son pied.
A Pindaya, une petite ville située non loin du lac Inlé connue pour ses ateliers d’ombrelles, vous pourrez observer la fabrication de ce papier, issu de la fibre du mûrier.