Les Afghanes doivent désormais couvrir leur visage lorsqu'elles sortent de chez elles et ne sont plus autorisées à faire entendre leur voix en public, comme, par exemple, chanter.
Il n’osait pas entrer, intimidé, avec un grand rosier blanc entre les bras, une plante magnifique dont la tige montait jusqu’à sa figure et mêlait des fleurs dans sa barbe jaune.
Elle avait réussi jusqu'alors à éviter qu'elle sortît dans la rue, sauf pour se rendre à la messe en compagnie d'Amaranta, mais encore l'obligeait-elle à se couvrir le visage d'une mantille noire.
À l'intérieur des chambres fraîches et saturées d'encens, les femmes se protégeaient du soleil comme d'une contagion indigne et se couvraient le visage d'une mantille, même aux premières messes de l'aube.