Au commissariat de police, comme M. Sahadeo aurait été battu et frappé aux ongles des pieds avec un petit marteau, de peur d'être encore maltraité il aurait signé des aveux préparés à l'avance.
Ils arrivaient plus tôt que les autres et consacraient leur matinée à le raser, à lui faire des massages avec des serviettes chaudes, à lui couper et polir les ongles des mains et des pieds, à le parfumer avec de l'eau de fleurs.