Pour ne rien arranger, le dernier empereur de cette dynastie était sybarite.Il négligeait les affaires d’Etat, s’adonnait aux plaisirs amoureux et méprisait la souffrance du peuple.
D'un côté, il y a les funestes marchands de la mort, les entreprises qui vénèrent le profit que leur procure ce commerce douteux, sans prêter attention au sang versé.
Et que la perte d'équilibre, que personne ne fait rien, juste pour le plaisir des autres personnes durement gagné de l'argent, aura le sien, et que les gens sont paresseux et incompétents.
Tu ne convoiteras point la maison Lie ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur ni sa servante, ni son bSuf, ni son âne ni rien de ce qui lui appartient.
Tu ne convoiteras point la maison Lie ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne ni rien de ce qui lui appartient.
Du reste, il n’y avait aucun luxe : la grande table, les chaises, un buffet d’acajou ; et, seuls, deux fauteuils profonds trahissaient l’amour du bien-être, les longues digestions heureuses.
Du jour où il était arrivé à gagner sa vie à peu près sûrement, il s’était arrêté là, trouvant bon d’être pauvre, et retranchant au travail pour donner à la pensée.