Les consultations menées par Plan international auprès de groupes d'enfants dans les 65 pays où il travaille ont permis de dégager deux grandes conclusions.
Certains pays développés, notamment les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Italie, la Norvège et d'autres, se sont engagés à appuyer les activités de prévention en Afrique.
L'Afrique du Sud appuie pleinement le redoublement des efforts vers un accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et aux services d'accompagnement.
Pour ce qui était du traitement et de la prévention du sida, le Brésil poursuivait un programme internationalement reconnu comme l'un des meilleurs au monde.
Un nouvel élargissement de ces activités nous permettrait d'assurer l'accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l'accompagnement en matière de VIH.
L'appui du Fonds aux interventions en faveur de la prévention du VIH serait entrepris en collaboration avec l'ONUSIDA et les autres coparrains de ce programme.
Il faudra pour cela agir en relation avec les groupes participant au projet d'autosuffisance afin de mieux faire connaître les risques et les mesures de prévention.
Vous pensez qu’il y a un lien direct, vous faites un lien direct entre la pénalisation de l’homosexualité et le manque d’informations sur la maladie et le manque de moyens pour se prémunir contre le sida ?