Senwes, une ancienne coopérative sud-africaine convertie en société privée, est devenue l'un des plus gros opérateurs dont l'industrie de la noix de cajou au Mozambique.
Celui-ci est fortement dépendant des exportations d'un seul produit, la noix de cajou, lesquelles ne permettent que de tirer peu, voire pas de valeur ajoutée.
Parmi ces technologies, il convient de relever celle qui est utilisée dans les petites exploitations d'anacardes dans le Nord-Est, permettant d'augmenter la production totale de 50 %.
La vente de ce produit représentant environ 30 % du PIB, les conséquences sociales et économiques de mauvais résultats récurrents dans ce secteur seraient dramatiques pour le pays.
À la place, les noix de cajou non traitées ont été exportées en Inde, où il semblerait qu'elles aient été décortiquées par des enfants astreints au travail.
Le Bureau a mis au point et continue d'améliorer du matériel adapté aux femmes comme par exemple des casse-noix et des éplucheurs de noix de cajou mécanisés.
Le différend aurait été réglé par le supérieur des intéressés, le président du comité qui réglemente les droits prélevés sur le coton et la noix de cajou.
En 2006, la commercialisation des noix de cajou, principal produit d'exportation du pays, a gravement souffert d'une hausse de 30 % du cours de référence fixé par le Gouvernement.