Ses yeux se mouillaient, sans qu’il cessât de rire. La lande déserte de Plogof, cette sauvage pointe du Raz battue des tempêtes, lui apparaissait dans un éblouissement de soleil, à la saison rose des bruyères.
Un jour, il vit courir un renard : une ondulation rouge au milieu des herbes vertes, un souffle féroce, un hérissement de moustaches ; il traversa le pré et disparut dans les bruyères.