Elles portent des scènes apparemment empruntées à l’épopées sarmate :sur l’une d’elles un guerrier tue de sa lance un animal fantastique ;sur l’autre il tient par la bride un cheval.
Mais, vaine émotion ! L’Abraham-Lincoln modifiait sa route, courait sur l’animal signalé, simple baleine ou cachalot vulgaire, qui disparaissait bientôt au milieu d’un concert d’imprécations !
D'ailleurs, certains chercheurs pensent même que les dinosaures émettaient des sons plus proches du cri d'un rapace ou du roucoulement d'un pigeon que du rugissement d'un félin.
Toutefois, je pencherais plutôt pour le dernier, parce que ces animaux voraces n'apparaissent guère que la nuit, et parce que nous vîmes la foule horriblement épouvantée, surtout les femmes.
L’homme eut cette commotion que donne toujours l’inattendu. Il se hérissa hideusement ; rien n’est formidable à voir comme les bêtes féroces inquiètes ; leur air effrayé est effrayant.
Et les régiments, accoutumés aux plus farouches visions de la guerre, regardaient d’un œil inquiet cette espèce de redoute bête fauve, par le hérissement sanglier, et par l’énormité montagne.
Depuis, il guette la zone voisine, une voie ferrée aux allures de festin pour le fauve, bordée par une forêt et une décharge fréquentées par des gibiers.
Quand il revient au palais d'Eurysthée, le sanglier pousse des cris effrayants, et le roi Eurysthée se cache dans une jarre de bronze, terrorisé par la bête.