À la mi-mai, une des deux brigades légères a été renforcée par un bataillon d'artillerie et un escadron de chars, son effectif passant ainsi de 1 100 à 1 700 éléments.
L'armée djiboutienne, quant à elle, dispose d'environ un bataillon d'infanterie, un bataillon d'artillerie et une section de blindés déployés pour la défense avancée de la zone dans des conditions extrêmement difficiles.