L'officier de tir est venu l'interrompre au moment où il m'expliquait comment on chassait l'air des ballasts puis comment on équilibrait le navire pour atteindre l'immersion périscopique.
Par exemple, le fait de ne disposer que de périscopes ou de toutes petites ouvertures pour observer ce qu'il se passe dehors, ou la communication interne au char qui doit parfois se faire… à coup de pied.