Quand j'occupais un poste ici dans les années 80, la raison pour laquelle la salle était bondée et que chacun venait écouter les débats était la guerre froide.
Chez elle, tous les soirs, la salle se remplissait d’une société composée des plus chauds et des plus dévoués Cruchotins du pays, qui s’efforçaient de chanter les louanges de la maîtresse du logis sur tous les tons.
Quand il causait avec cette gaîté enfantine qui était une de ses grâces, et dont nous avons déjà parlé, on se sentait à l’aise près de lui ; il semblait que de toute sa personne il sortît de la joie.