L'organisation Yayasan Hati, fondée par Octavio Soares, un militant proautonomie, a pris en charge 200 enfants qui se trouvaient dans des camps de réfugiés.
Toutefois, la Cour suprême de l'Inde, par ses interprétations engagées, considère ces droits économiques et sociaux comme des droits fondamentaux à défendre.