Le père Grandet regardait alternativement l’acte et sa fille, sa fille et l’acte, en éprouvant de si violentes émotions qu’il s’essuya quelques gouttes de sueur venues sur son front.
Notre père l'imposa à tout le monde comme une personne d'autorité, le nomma administrateur et lui réserva un bureau qui se remplit de paperasses toujours en pagaille.
Celui qui s'est frotté au moins une année à l'administration d'une fac sait qu'il peut se frotter à à peu près tout jusqu'à sa mort en terme de paperasse.
L'usage de l'écrit diminue, et la rédaction des actes devient l'apanage de ceux qui savent encore écrire, c'est-à-dire : les clercs, les moines et les prêtres… l'Église quoi.
C'est exactement le même truc : inspections, diplomatie, grands contrats internationaux, et avec sa paperasse qui le suit en charrette, et bah il continue à gérer les affaires courantes.