L'utilisation des compétences locales, des spécialistes et des matériaux disponibles dans les pays dévastés devrait permettre une intervention plus efficace.
Les petits États insulaires en développement sont particulièrement vulnérables face au changement climatique; il faut les aider à réduire cette vulnérabilité.
Aux dires des experts, la construction d'un nouvel hôpital équipé de structures résistantes aux catastrophes n'entraînerait que 4 % de frais supplémentaires.
Elles sont en outre susceptibles de réduire la capacité de résistance et la capacité d'adaptation aux changements climatiques des individus et des collectivités.
La faiblesse des structures administratives limite la portée des activités d'information et de préparation de la population, dont la capacité de résilience est déjà très entamée.
Il faudra encourager et dûment soutenir l'engagement de la société civile dans la planification, l'intervention, la reconstruction et la réduction des risques en cas de catastrophe.
Il est possible de créer une culture nationale et régionale de prévention des catastrophes et de résilience aux catastrophes en renforçant les capacités humaines et institutionnelles.
Le sous-programme mettrait l'accent sur l'acquisition et le partage de connaissances et renforcerait les capacités des décideurs à créer des sociétés résistant mieux aux risques des catastrophes.
Les organismes des Nations Unies pouvaient davantage atténuer les risques et renforcer la capacité de récupération des populations en coopérant au titre du Cadre d'action de Hyogo.