La suppression des obstacles architecturaux n'est pas encore assez systématique, et de nombreux bâtiments publics restent inaccessibles, notamment les bureaux de vote.
En l'absence d'indications claires de l'importance militaire de ces bâtiments, ces attaques constitueraient une violation grave du droit international humanitaire équivalant à des crimes de guerre.
Ici, la saturation des couleurs de l'utilisation sur l'immeuble sont exagérees, mais quand ils se combinent dans l'atmosphère de l'ensemble de la ville,ils ne semblent pas gênant.