Le dernier jour àTéhéran. Nous nous sommes vus une fois plus dans la rue. Le monde est tout petit. Alors, nous avons pris une photo ensemble avant le musée de Bijouterie.
Quand elle sortit, il n’eut qu’une pensée, la suivre, s’attacher à sa trace, ne la quitter que sachant où elle demeurait, ne pas la reperdre au moins après l’avoir si miraculeusement retrouvée !
Ainsi, étrange coup de tête du hasard ! une des deux pistes qu’il avait tant cherchées, celle pour laquelle dernièrement encore il avait fait tant d’efforts et qu’il croyait à jamais perdue, venait d’elle-même s’offrir à lui.