On comprend, rien qu'à observer son visage fermé, qu'il préfèrerait mourir dans la seconde plutôt que de se retrouver parmi le commun des mortels à se vanter de sa petite vie bien rangée.
Et alors que les uns continuaient leur petite vie et s'adaptaient à la claustration, pour d'autres, au contraire, leur seule idée fut dès lors de s'évader de cette prison.
Ainsi passait la vie pour ma tante Léonie, toujours identique, dans la douce uniformité de ce qu’elle appelait avec un dédain affecté et une tendresse profonde, son « petit traintrain » .