D'un autre côté, quand Tarrou rentrait le soir, il était toujours sûr de rencontrer, dans le hall, la figure sombre du veilleur de nuit qui se promenait de long en large.
L'hôte, ses garçons et deux gardes de nuit qui passaient et qui, par curiosité, pénétrèrent trop avant dans la chambre furent enveloppés dans la bagarre et roués de coups.
Mazarin s'était mis au lit un peu tourmenté de la goutte, mais comme c'était un homme d'ordre qui utilisait jusqu'à la douleur, il forçait sa veille à être la très humble servante de son travail.
Derrière le balcon, la fenêtre ne s'ouvrit pas et dans la rue nul ne se montra, pas même le veilleur de nuit qui presque toujours s'approchait avec son quinquet pour tenter de prospérer grâce aux miettes des sérénades.