Le rappel, qui parcourait tout Paris, ne discontinuait pas, mais cela avait fini par ne plus être qu’un bruit monotone auquel ils ne faisaient plus attention.
On entendait au dehors le vent siffler et le ressac monotone battre la côte. Les galets, poussés et ramenés par les lames, roulaient avec un fracas assourdissant.
Le trot du cheval, les grelots du harnais, les roues sur le pavé, faisaient un bruit doux et monotone. Ces choses-là sont charmantes quand on est joyeux et lugubres quand on est triste.