Après Auschwitz, nous sommes tous juifs, nous sommes tous gitans, nous sommes tous inaptes, marginaux ou indésirables aux yeux de quelqu'un quelque part.
Le déplacement prolongé et l'isolement de centaines de milliers de Serbes, de Roms, et d'autres groupes minoritaires, demeure une source de préoccupation.
C'est en s'inspirant d'eux qu'elle inventa sa langue fictive, qui mélangeait des mots imaginaires et du vocabulaire bien réel, tiré de la langue des Roms.