L’âpre vent des haut plateaux, le froid excessif ou la chaleur torride ont modelé ces visages aux yeux bridés, aux pommettes saillantes, au poil rare, durci ces torses noueux.
Lorsque arriva le mois de mars, le temps devint plus sec mais des vents implacables leur écorchaient le visage et les mains chaque fois qu'ils sortaient dans le parc.
Des feux de cheminée chauffaient la Grande Salle et la salle commune de Gryffondor mais les couloirs étaient parcourus de courants d'air glacés et un vent polaire faisait trembler les fenêtres des salles de classe.