Pourtant le jardin de Leila est aussi préservé qu'un sanctuaire, aussi secret qu'hors du siècle, conforme ainsi à la tradition orientale d'une intimité toujours protégée du regard.
Elle s'était renseignée et avait appris qu'il était le fils sans père d'une célibataire travailleuse et réservée mais à jamais marquée par le stigmate de feu d'une unique erreur juvénile.