L'OMS voit d'un oeil plutôt inquiet la reprise des mouvements de population, alors que la pandémie est au plus fort dans certains Etats et n'a même pas atteint son pic dans d'autres.
On ne parle pas ici des plus de dix millions d'Ukrainiens qui ont dû quitter leur foyer, le mouvement de population forcé le plus rapide depuis la Seconde guerre mondiale, selon Gutteres.