Les principaux biocarburants que l'on produit actuellement sont l'éthanol, en remplacement de l'essence, et les huiles végétales, en remplacement du gazole.
Les biocombustibles de la deuxième génération étaient l'éthanol issu de lignocellulose (résidus de cultures, herbes, cultures ligneuses) par hydrolyse enzymatique et les combustibles thermochimiques.
ONU-Habitat continue de participer à l'exploration des impacts économiques, sociaux et environnementaux d'une utilisation plus durable de la biomasse, notamment l'éthanol et autres biocarburants.
Dans l'Union européenne, cinq pays, l'Allemagne, l'Espagne, la France, la Suède et la Pologne, produisent au total 0,9 milliard de litres d'éthanol utilisé comme carburant.
À l'heure actuelle, l'éthanol extrait de 1,8 million d'hectares de canne à sucre couvre plus de 35 % de la consommation de carburant automobile du pays.
Les scientifiques cherchent maintenant quels enzymes peuvent être ajoutés au patrimoine génétique du champignon, afin de produire du bio éthanol de façon encore plus efficace.
Le Brésil, qui a commencé il y a plus de 20 ans à transformer le sucre en éthanol, est à l'heure actuelle le seul exportateur potentiel de biocarburants.
Les prix des carburants repartent à la hausse, mais peut-être faites-vous partie des dizaines de milliers de Français qui ont installé un boîtier pour rouler au superéthanol.
Aujourd'hui, quand le sans-plomb 95 est à 1,91 euro le litre, le superéthanol est à 1,03. Il a dépassé le seuil symbolique de 1 euro, ce qui a découragé beaucoup d'automobilistes.
Parmi ceux-ci : les acides carboxyliques, dégagés par les glandes sébacées et les micro-organismes hébergés dans l'organisme humain ; et l'acétoïne, généré par les microbes de la peau comme certaines bactéries.